Une lente prose inachevé
Une note qui résonne
Un chant que lon entonne
Un doux murmure inavoué
Laube se lève sans frayeur
Les soupirs dun amour inachevé
Et nos sourires enterrés
Le crépuscule se lève en grandeur
Laube se lève sans frayeur
Le vol dun doux baiser
La chaleur de ta peau satiné
Le crépuscule se lève en grandeur
Laube se lève sans frayeur
La douceur dun amour révélé
Le temps semble sarrêter
Le crépuscule se lève en grandeur
Laube se lève sans frayeur
Le bonheur d&
Debout, déchiré de douleur
Elle rêve, la tête sur un couteau
Il n'y aura pas de jour meilleur
Pour son fils, pendu à un poteau
Le peuple, d'un regard fuyeur
Pour s'éviter la colère du tyran, trop
Sont ceux qui regarde d'unair rêveur
Le ciel de la liberté, la terre du renouveau
Le sang lave les péchés
Dieu se détourne des tueurs
Le monde tombe dans la noirceur
Sous les cendres des corps brulés
Un peuple enterré dans l'oubli
Oh mon fils, pardonne moi
De ces yeux n'émanent plus de vie
Oh mon fils, pardonne moi
que de mensonge éffronté
Sors de ce
Au milieu des péchés et d'un luxe capricieux
Délestez vous de cette horrible parrure
Et gardez votre peau pour seul couverture
Cherchant sur la fraîcheur de ses seins un goût mielleux
Femme damné, banni des cieux
Oubliez vos rêves de liberté et de luxure
Offrez plutôt vos corps aux âmes murs
Personne n'appercevra vos pleurs silencieux
Le vin éteingra ton chagrin
L'opium enterrera tes espoirs
Abandonne toi au plaisir divin
De ta vie tu ne pourra plus revoir
La beauté des vertes prairies
Condamné au ténèbres d'une triste vie
Dans la beauté de la nuit, dans son silence
Retentit un cri de peur et de soufrance
De celui dont les yeux s'éveillent
Arraché de force à son sommeil
Les cauchemars dansent dans la pénombres
La lumières dans les cieux s'éteint
Et retentit les pas du malin
Légion arrive, tel une ombre
Les murmures des ténèbres
Invitent à la tentation
Priez en ce jour funèbre
Fuyez, pauvre fou, fuyez
Priez, pauvre mortel, priez
Mais vous n'échapperé pas à la damnation
Sous l'ombre des nuages, noir de silence
Frappe soudain l'envie et la colère
Que se repentisse de sa toute puissance
Le chaos, la folie et la misère
Devant la tentation du péché originel
Embrassons la mort tel une amante
Perfide vie, trahison aimante
Que se dresse au prêcheurs la colère du ciel
Cette hantise, ce désir
Que vante l'esprit et le coeur
N'amène qu'une trahison
De ténèbres la vie semble se vêtir
Homme de foi, tremblez de peur
Sombre ennemi qu'est la tentation
I
Les pleurs
Ô douce innocence qui te fut ravi
Tu es si jolie dans cette robe de soie
Cette vie que l'on a terni
Méritais grand respect et foi
Petite fille au yeux exorbité
Fixant sans relâche ce ciel vide de sens
Ta curiosité t'y aura donc poussé
À exploré ce monde de pur violence
L'on a forcé la porte de ta jeunesse
T'arrachant un cri de désespoir
Sous cet homme, remplie d'ivresse
Plus aucun rêves ni espoir
Tes pleures ne recueilleront pour écho
Que la peur, ce sombre bourreau
Vivace souvenir brûlant mon coeur
Ravivant la terrible douleur qui m'atterre
Je le ressens jusque dans mes artères
Mon sang en crie et mes yeux en pleurent
Des nuits d'enfer sans espoir
D'où l'éternel sommeil est banni
Ne voyant la réalité qu'au trevers d'un miroir
Une âme peut-elle vivre dans un corps sans vie
L'avenir glace mon coeur d'éffroi
Le passé y ouvre de multiple blessure
On m'offre de l'espoir mais je ne sais si j'y crois
Je ne suis victime que de ma propre torture
Un cri au fonds de moi s'étouffe
Me laissant sans joie et sans souffle
Douce nuit silencieuse terrassant le jour
Synonymes de bien des vices et péchés
Vivant à travers les ténèbres reculés
M'envellopant tel un doux linge de velours
Ô belle nuit écoutant mes souffrances
Inflige la douleur et le désarroi à tout ces coeurs
Maîtresse des marginaux et de la rancoeur
Témoigne moi de ta terrible puissance
Solitude paradoxale du monde entier
Je ne vie que lorsque la nuit est à son apogée
Sucitant en moi de puissant désir
Des larmes silencieuses docuement s'écoulent
Je combat l'ennui en tuant les rires
Les espoirs et les vies s'&
Le soleil se couchant sur un vaste horizon
La lune apparaissant au firmament
Alors qu'une mélodie de violon
Assoupi les coeurs et l'esprit lentement
L:a lune apparaissant au firmament
Les vers de la nuit à jamais perdu
Assoupi les coeurs et l'esprit lentement
Le fil du temps se retrouve suspendu
Les vers de la nuit à jamais perdu
Funestes destin menant à sa perte
Le fil du temps se retrouve suspendu
Ténèbres célèstes cachant sa vie secrète
Funest destin menant à sa perte
Lasse de cette vie sans fin
Ténèbres célèstes cachant sa vie secrète
Regardant le cr
Les tenebres de l'hiver by Pagandreamer, literature
Literature
Les tenebres de l'hiver
Comme un coups de couteau, en mon coeur est entrer
Le froid, le désespoir, l'hiver et la mort
Les frissons secouant l'entier de mon corps givrés
Enlèvent en moi tout idée de réconfort
Le désespoir s'empara de moi
Abandonnant ma lutte contre le froid
Les ténèbres envahissent les méandres de mon esprit
Le froid de l'hiver engourdit mon âme et ma vie
Tel un pact signé avec le malin
Suppliant la nuit de me laisser en paix
Gardant un peu de réconfort pour ma fin
Emportant dans ma tombes mes plus noirs secrets
Mon âme en enfer sera victime de la torture
Pour chaque pé
La Lune levé vers l'azur
Éclairait un lac et ses eaux miroitantes
Une promenade dans la nuit si pur
Quand les étoiles se révèlent mourantes
Voyez cette beauté et cette éclat
Ô chère ange, veille sur notre sommeil
Un miroir lisse où se cacha
Une douce et immortelle merveille
Devant toi s'ouvre le néant
Et l'immensité de la vie
Sans limite face à ce rêve infini
Pourtant survient ce cri que personne ne reprends
Face au vide et à la beauté terni
De toi, lune, perdu dans cette océan
L'amour c'est sentir son coeur se blottir
C'est ce sentiment que l'ont veut partager
C'est une impression qui ne veut jamais partir
C'est un regard qui nous fait s'envoler
L'amour c'est voir le temps s'enfuir
C'est sentir sa lèvre trembler
C'est recevoir un doux baiser
C'est nos soucis qui semble se réduire
L'amour cest entendre son coeur crier
C'est un sentiment qui ne fait que grandir
C'est une impression qui nous fait rêver
C'est un regard que personne ne peut ravir
L'amour c'est oublier le monde entier
C'est le frisson d'un seul instant
C'est voir sa vie défiler
C'est vivre tout en rêvant
L'amour c'est la poésie du coeur
Là où nul ne sais poser les yeux
Le coeur bats a l'abandon
Un langoureux solo de violon
Accompagne dans l'oubli l'âme des pieux
Douleur funest qu'est le désir
Bouillonnant d'une rage sans fin
Vivant sans un souffle, sans un rire
Mais tout ces espoirs sont vain
Les souvenirs remontent a la surface
Tentant de s'envoler tel un satyre
Prisonnier de son propre martyr
Les vautours déchirent sa carcasse
Son âme est emprisonné à tords
Sans pouvoir échapper à la douleur du remord
Ô damnation, tentation
Qu'une jeune fille au sein offert
S'esquivant elle-même de la rédemption
Prenant un vil plaisir au désir découvert
Chère jeunesse insouciante
Malgré tes péchés éffrontés
Et toute ta révolte impuissante
Ne saura tu donc résisté
La tentation t'emportera
Si tu n'y prends pas garde
Ton seul espoir s'éffondrera
Victime d'une mascarade
De tes yeux des larmes s'écoulent
Comme le temps qui lentement s'éloigne
Avec la mort tout ton univers s'écroulent
Vos âmes tentés soudain se rejoigne
Ces notes qui doucement résonne
Tel les coups qui retentissent dans la nuit
Quand je les écoutent, je frissonne
De joie, de peine, de plaisir sans ennuie
Cette musique, tel un louange
Monte jusqu'au firmament, jusqu'au cieux
Pour atteindre l'oreille des anges
Tel une prière, un remerciement si pieux
Les premières notes de cette Solitude
Annonce d'un air désinvolte et charmant
La peine de cette vie, oh vie si rude
Alors l'artiste commence son envoutement
Comme un songe, je me sens voler
Lorsque retentit cette douce mélodie
Ce son magistrale tant rechercher
Est en moi une flamme que personne ne ravie
Je ne vie que lorsque je tou
Cette frêle femme d'une beauté endormie
À la peau douce et d'une net blancheur
Sous la morsure du vent s'éveille sa candeur
Ces traits si fins, ces yeux plein de vie
La clarté du jour éveille son apathie
Ses paupières se lèvent sans frayeur
Sur ce jour qu'elle souhaiterait meilleur
Le soleil et la lune alors lui souri
Que s'écoule les jours si sombres
Que s'éloigne ce funest horizon
Que s'écarte les voiles et les ombres
Fragile beauté, d'où te vienne ces frissons
Je vois en toi le reflet de mes espoirs
Tel un songe, tel le reflet d'un miroir
Je vous maudit, paria de la vie
Je vous maudit, femme damné
Je vous maudit, paresseux endormi
Je vous maudit, pauvre injurié
Je vous maudit, vil menteur
Je vous maudit, être de luxure
Je vous maudit, femme de parure
Je vous maudit, traitre prêcheur
Je vous maudit, serviteur de Dieu
Je vous maudit, homme juste
Je vous maudit, amie des pieux
Je vous maudit, prieur fruste
Je vous maudit, voleur détroussé
Je vous maudit, putride humain
Je vous maudit, diable puritain
Je vous maudit, perfide humanité
Les yeux mi-clos, tremblante
Jeune déesse étendu, impuissante
Les baisers qui lèvent sa jeune candeur
Lui donne un air muet et rêveur
Que s'enflamme la passion et s'apaise les remords
Que disparaissent doutes et larmes
Alors qu'à ses pieds cet homme fort
Agace ses sens et ses charmes
''Je me rassasie de ta jouissance
Je mordrai les fruits de tes désirs
Je m'abreuverai du vin de ton plaisir
Jusqu'à ce que s'élève ce sentiment de puissance
Ce soir nous embraserons la nuit!''
Est-ce là la beauté du ciel
Que d'être tenté par le péché originel
Dans la brume, deux amants s'enfuient
Ta poésie est interessante, mais il manque de ponctuation dans tes sonnets, car il n'y a pas assez de rythme intérieur.
Et puis ne te sens pas obligé à rester sur une poésie versifiée, peut être que tu t'exprimerai mieux dans une écriture plus libre, sans contrainte superflues.
Bonne chance pour tes prochains écrits.